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JANUS a lu le dernier journal « les cogolinois ». Voici ce qu’il en pense.
- DANS LA FORME :
Bien que ce ne soit pas celui cité par Coluche, le gérant actuel de Cogolin se la joue papi.
»Triste en » soi qu’il se contredise et se contredisent puisqu’il est une bande…
En effet, triste en soi que la sagesse du papi dans ses dires ne se traduise pas dans les faits car pour que la génération suivante puisse faire son chemin et ses preuves et transmettre le flambeau à la génération qui suivra, autrement dit celle de son petit fils, il faut que la génération qui précède s’éclipse donc que le papi se retire puisque lui-même a déjà fait ses preuves ! Fais ce que je dis et pas ce que je fais… CQFD !
Triste en soi que le papi, comme la plupart des papis, a une difficulté à voir loin et surtout a une mémoire à géométrie favorable !!!
Il a oublié que choisir n’implique pas que ce soit toujours les bons choix que l’on fait dans la vie, y compris dans la vie politique.
Il ne voit pas que ce que l’on fait ou ne fait pas aujourd’hui peut être mauvais ou inefficace demain.
Il oublie que se faire charmer par le chant des sirènes de l’immobilier peut faire s’échouer le navire voire le faire couler !
Il oublie que les gens auparavant étaient peut-être moins nombreux mais avaient plus d’espace, trouvaient plus facilement des places de parking, galéraient moins sur les routes, s’amusaient plus, sortaient plus, se rencontraient plus, se parlaient plus, travaillaient plus… Elle a bons dos la crise. Il est vrai que les papis ont un plus mauvais dos que la crise…
Triste en soi de faire croire à un petit enfant qu’il va bien vivre au pays quand papi et son orchestre lui chante mon païs c’est « to lose » !
Triste en soi qu’il fasse croire à son petit fils qu’il construit un Cogolin pour sa génération quand il n’a rien fait pour la génération de ses parents quand ils étaient ado et teenagers… CQFD !
- DANS LE FOND :
S’il est facile de faire briller le miroir aux alouettes à un petit enfant, il est triste en soi que des adjoints puisse croire le faire briller aussi auprès des cogolinois à travers un autosatisfecit déguisé en une parabole du sage…
Un adjoint qui s’autocongratule d’un festival des arts qui a vu se multiplier le nombre des participants. JANUS fait remarquer que plus d’artistes ne signifie pas plus de visiteurs ! Or c’est le nombre de visiteurs qui est le réel critère de réussite d’une animation. C’est ce nombre que les commerçants aimeraient connaître car eux ils ne les voient pas ni dans les rues ni dans leurs magasins du centre-ville… CQFD !
Un gérant de commune qui plébiscite le développement du quartier phare aquo comme dit en provençal le papi. Aquo qu’es un quartier excentré qui est en train de saigner le centre-ville. Non pas que ce quartier n’a pas le droit d’exister mais que le gérant actuel de Cogolin et ses disciples sont dans l’incompétence de savoir animer le centre-ville de façon régulière tout au long de l’année afin de contrebalancer l’externalisation de l’activité commerciale dans les zones d’activités.
Mr le gérant actuel de la commune devrait se promener un peu plus souvent dans le centre-ville le week-end pour se rendre compte par lui-même de la réalité de ce que dit JANUS !
Un autosatisfecit sur l’immobilier d’une commune qui a grandi excessivement vite. Un autosatisfecit qui oublie qu’en 1995 on critiquait la politique immobilière du prédécesseur. Et voilà, le moment du bilan :
18 ans plus tard on a fait mieux, c’est-à-dire pire, en nombre de constructions que ne l’a fait ledit prédécesseur critiqué à l’époque… Fais ce que je dis pas ce que je fais !
JANUS ne va pas pourfendre tout ce qu’a fait le sage seigneur. Il n’en a pas moins correctement géré en père tranquille la commune.
JANUS n’est pas en phase avec les choix stratégiques anachroniques par rapport à l’avenir qui s’annonce. Il les trouve frileux, archaïques et déphasés par rapport aux besoins et attentes de la population. Cependant, JANUS ne va pas critiquer cette partie de la gestion courante d’une commune que tout maire dans quelque commune que ce soit est en devoir, en obligation de faire et ce me semble compétent à savoir le faire !
JANUS oriente plutôt sa note négative sur le fait que Cogolin a eu une gouvernance gestionnaire mais il lui a manqué la gouvernance stratège qui s’atèle à créer un cadre de confiance dans lequel les entreprises peuvent se développer grâce à une lisibilité et une visibilité initiées par l’orientation donné au long terme par ledit cadre.
JANUS est déçu pour Cogolin de la non prise de conscience de ce tournant sociétal que l’on vit et le manque d’innovation dans la politique communale et intercommunale.
La politique d’une gouvernance doit savoir donner du sens à l’action, doit savoir donner du sens à ses projets et JANUS constate que c’est « Waterloo, morne plaine… »
Relisez Les idées de Janus pour le Yotel
Elles sont ce qu’elles sont. Elles sont bonnes ou non. Par contre quelles qu’elles soient, elles ont un sens, une cohérence, une interactivité synergique, une interrelation qui sont propices à générer et développer une attractivité source de création d’emplois !
Vous constaterez dans mes diverses propositions pour la commune et l’intercommunalité que ma démarche est la même : investir à bon escient pour générer une attractivité aux retombées socio-économiques positives et pérennes !
Je ne suis pas du tout sûr et l’avenir, je pense me donnera raison, que les projet déphasés de la gouvernance actuelle s’inscrivent dans la même démarche dynamique que propose JANUS…
Ne dit-on pas qu’une population a les dirigeants qu’elle mérite.
JANUS est méchant, pensez-vous… Non, pas du tout, simplement réaliste… CQFD !
- DANS LA FORME :
Bien que ce ne soit pas celui cité par Coluche, le gérant actuel de Cogolin se la joue papi.
»Triste en » soi qu’il se contredise et se contredisent puisqu’il est une bande…
En effet, triste en soi que la sagesse du papi dans ses dires ne se traduise pas dans les faits car pour que la génération suivante puisse faire son chemin et ses preuves et transmettre le flambeau à la génération qui suivra, autrement dit celle de son petit fils, il faut que la génération qui précède s’éclipse donc que le papi se retire puisque lui-même a déjà fait ses preuves ! Fais ce que je dis et pas ce que je fais… CQFD !
Triste en soi que le papi, comme la plupart des papis, a une difficulté à voir loin et surtout a une mémoire à géométrie favorable !!!
Il a oublié que choisir n’implique pas que ce soit toujours les bons choix que l’on fait dans la vie, y compris dans la vie politique.
Il ne voit pas que ce que l’on fait ou ne fait pas aujourd’hui peut être mauvais ou inefficace demain.
Il oublie que se faire charmer par le chant des sirènes de l’immobilier peut faire s’échouer le navire voire le faire couler !
Il oublie que les gens auparavant étaient peut-être moins nombreux mais avaient plus d’espace, trouvaient plus facilement des places de parking, galéraient moins sur les routes, s’amusaient plus, sortaient plus, se rencontraient plus, se parlaient plus, travaillaient plus… Elle a bons dos la crise. Il est vrai que les papis ont un plus mauvais dos que la crise…
Triste en soi de faire croire à un petit enfant qu’il va bien vivre au pays quand papi et son orchestre lui chante mon païs c’est « to lose » !
Triste en soi qu’il fasse croire à son petit fils qu’il construit un Cogolin pour sa génération quand il n’a rien fait pour la génération de ses parents quand ils étaient ado et teenagers… CQFD !
- DANS LE FOND :
S’il est facile de faire briller le miroir aux alouettes à un petit enfant, il est triste en soi que des adjoints puisse croire le faire briller aussi auprès des cogolinois à travers un autosatisfecit déguisé en une parabole du sage…
Un adjoint qui s’autocongratule d’un festival des arts qui a vu se multiplier le nombre des participants. JANUS fait remarquer que plus d’artistes ne signifie pas plus de visiteurs ! Or c’est le nombre de visiteurs qui est le réel critère de réussite d’une animation. C’est ce nombre que les commerçants aimeraient connaître car eux ils ne les voient pas ni dans les rues ni dans leurs magasins du centre-ville… CQFD !
Un gérant de commune qui plébiscite le développement du quartier phare aquo comme dit en provençal le papi. Aquo qu’es un quartier excentré qui est en train de saigner le centre-ville. Non pas que ce quartier n’a pas le droit d’exister mais que le gérant actuel de Cogolin et ses disciples sont dans l’incompétence de savoir animer le centre-ville de façon régulière tout au long de l’année afin de contrebalancer l’externalisation de l’activité commerciale dans les zones d’activités.
Mr le gérant actuel de la commune devrait se promener un peu plus souvent dans le centre-ville le week-end pour se rendre compte par lui-même de la réalité de ce que dit JANUS !
Un autosatisfecit sur l’immobilier d’une commune qui a grandi excessivement vite. Un autosatisfecit qui oublie qu’en 1995 on critiquait la politique immobilière du prédécesseur. Et voilà, le moment du bilan :
18 ans plus tard on a fait mieux, c’est-à-dire pire, en nombre de constructions que ne l’a fait ledit prédécesseur critiqué à l’époque… Fais ce que je dis pas ce que je fais !
JANUS ne va pas pourfendre tout ce qu’a fait le sage seigneur. Il n’en a pas moins correctement géré en père tranquille la commune.
JANUS n’est pas en phase avec les choix stratégiques anachroniques par rapport à l’avenir qui s’annonce. Il les trouve frileux, archaïques et déphasés par rapport aux besoins et attentes de la population. Cependant, JANUS ne va pas critiquer cette partie de la gestion courante d’une commune que tout maire dans quelque commune que ce soit est en devoir, en obligation de faire et ce me semble compétent à savoir le faire !
JANUS oriente plutôt sa note négative sur le fait que Cogolin a eu une gouvernance gestionnaire mais il lui a manqué la gouvernance stratège qui s’atèle à créer un cadre de confiance dans lequel les entreprises peuvent se développer grâce à une lisibilité et une visibilité initiées par l’orientation donné au long terme par ledit cadre.
JANUS est déçu pour Cogolin de la non prise de conscience de ce tournant sociétal que l’on vit et le manque d’innovation dans la politique communale et intercommunale.
La politique d’une gouvernance doit savoir donner du sens à l’action, doit savoir donner du sens à ses projets et JANUS constate que c’est « Waterloo, morne plaine… »
Relisez Les idées de Janus pour le Yotel
Elles sont ce qu’elles sont. Elles sont bonnes ou non. Par contre quelles qu’elles soient, elles ont un sens, une cohérence, une interactivité synergique, une interrelation qui sont propices à générer et développer une attractivité source de création d’emplois !
Vous constaterez dans mes diverses propositions pour la commune et l’intercommunalité que ma démarche est la même : investir à bon escient pour générer une attractivité aux retombées socio-économiques positives et pérennes !
Je ne suis pas du tout sûr et l’avenir, je pense me donnera raison, que les projet déphasés de la gouvernance actuelle s’inscrivent dans la même démarche dynamique que propose JANUS…
Ne dit-on pas qu’une population a les dirigeants qu’elle mérite.
JANUS est méchant, pensez-vous… Non, pas du tout, simplement réaliste… CQFD !