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« Anne ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir » : Nib… Nada… Que dalle… que tchi !
La crise mondiale que nous traversons prouve les limites d’un système mais par la même occasion, elle devient le starter d’un autre type de société et d’un autre mode de vie qui vont obligatoirement s’instaurer dans les années et décennies à venir.
Les connaissances scientifiques, les nouvelles technologies, la crise mondiale, les pays émergents, La réduction des énergies fossiles, le réchauffement du climat avec ses conséquences programmées, sont autant d’éléments nous imposant de penser la France, de gérer la France autrement et à fortiori de penser Cogolin et le Golfe, de gérer Cogolin et le Golfe autrement que renfermé sur soi et que simplement à court terme.
»L’avenir, il ne suffit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. »
Antoine de Saint-Exupéry
Mis à part s’ils portent des œillères ou s’ils sont ineptes pour rester poli, tous les gouvernants locaux se doivent dorénavant de prévoir le futur « lointain » ! Qu’ils le veuillent ou non, il nous faut penser aux générations futures pour le long terme et au « nouvel art de vivre » qui se profile pour le moyen terme.
Cela veut dire par exemple qu’il ne faut plus penser le tourisme en terme de plus mais en terme de mieux ; non plus en terme de flux mais en terme d’offre ; non plus en terme de « pigeons » mais en terme de partenaires ; de comprendre que le touriste n’est pas un être immuable mais une personne en phase avec son époque donc qu’il est une personne dont les demandes, les besoins, les attentes évoluent, changent ! Ne pas coller à cette évidence fera qu’une partie des touristes ira dans d’autres coins qui répondront mieux à cette évolution sociétale !
Lire ou relire l’article écrit en janvier 2013 :
JANUS dénonce la myopie de nos élus du Golfe
http://cogolinforum.free.fr/cogolin_intercommunalite_06.pdf
La vie d’une commune basée sur le seul tourisme de masse avec un pouvoir d’achat avéré s’essouffle pour ne pas dire rend l’âme. Désormais, il nous faut penser notre commune et son tourisme en « nouvel art de vivre ».
Notre ville a des atouts géographiques et climatiques remarquables pour cela. Il est dommage qu’elle n’ait pas une gouvernance qui sache les exploiter judicieusement… CQFD !
Il est venu le temps de cesser l’immobilier pour l’immobilier ! La décennie à venir doit être consacrée à la vie de la ville, à la vie dans la ville, donc au mieux vivre ensemble à Cogolin et dans le Golfe. Elle doit être focalisée sur un dynamisme économique créateur d’emplois. Ce dynamisme doit être soutenu par dezs animations ayant un impact économique certain. Lisez l’article posté en janvier 2013
25 : L'impact économique
http://cogolinforum.free.fr/cogolin_chronique_economique_25.pdf
Elle doit être réorientée vers une politique de la ville innovante, en phase avec son temps et les nouveaux enjeux du 21e siècle, au service de l’habitant et fédérant les énergies pour renforcer la cohésion sociale et territoriale !
Malheureusement, au lieu de penser ainsi leur politique, les gouvernants locaux, honte à eux, ont le nez dans le guidon de l’immobilier et du développement urbain (sans stratégie associée à l’économie). Heureusement que les grandes villes n’ont pas nos gérants de communes !!!
Il va de soi que l’amélioration des conditions de vie quotidienne doit rester un combat de tous les jours. C’est une exigence pour l’avenir des générations à venir et pour la tranquillité de nos anciens.
À ce propos, quels sont les projets innovants, perspicaces, visionnaires des prétendants au trône pour cette population des plus de soixante ans qui ne va cesser d’augmenter dans les prochaines décennies ... Silence radio… Cherchez l’erreur ! Je ne parle pas ici de la population âgée qui est dépendante, qui vit dans les maisons de retraite. Je parle de la population « intermédiaire » que je qualifierai de population « vespérale » !
Une fois encore, les élus sont myopes et ne perçoivent pas les « problèmes » que va générer l’augmentation de cette tranche d’âge de personnes plus ou moins valides comprise entre 65 et 85 ans.
Mobilité, service à la personne, compagnie, distraction, réunions festives, ateliers culturels, etc… Il faudra, une fois de plus être le « nez dedans » pour tenter de trouver des solutions à bas coût plutôt que d’anticiper et d’élaborer une stratégie sur une dizaine d’années afin de mettre en place une politique efficiente permettant à cette tranche de la population de mieux vivre ensemble et de jouer encore un rôle utile sur le plan social et économique de la ville !
Il y a encore du chemin à faire… Mais soyons optimistes… La révolution citoyenne de l’esprit politique local que lance JANUS fera peut-être mûrir quelques neurones à nos futurs premiers édiles du Golfe. Neurones perspicaces et prospectifs qui leur permettront ainsi d’avoir enfin des idées, des projets structurés et interactifs pour répondre à l’essentiel plutôt qu’au superficiel !
JANUS
La crise mondiale que nous traversons prouve les limites d’un système mais par la même occasion, elle devient le starter d’un autre type de société et d’un autre mode de vie qui vont obligatoirement s’instaurer dans les années et décennies à venir.
Les connaissances scientifiques, les nouvelles technologies, la crise mondiale, les pays émergents, La réduction des énergies fossiles, le réchauffement du climat avec ses conséquences programmées, sont autant d’éléments nous imposant de penser la France, de gérer la France autrement et à fortiori de penser Cogolin et le Golfe, de gérer Cogolin et le Golfe autrement que renfermé sur soi et que simplement à court terme.
»L’avenir, il ne suffit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. »
Antoine de Saint-Exupéry
Mis à part s’ils portent des œillères ou s’ils sont ineptes pour rester poli, tous les gouvernants locaux se doivent dorénavant de prévoir le futur « lointain » ! Qu’ils le veuillent ou non, il nous faut penser aux générations futures pour le long terme et au « nouvel art de vivre » qui se profile pour le moyen terme.
Cela veut dire par exemple qu’il ne faut plus penser le tourisme en terme de plus mais en terme de mieux ; non plus en terme de flux mais en terme d’offre ; non plus en terme de « pigeons » mais en terme de partenaires ; de comprendre que le touriste n’est pas un être immuable mais une personne en phase avec son époque donc qu’il est une personne dont les demandes, les besoins, les attentes évoluent, changent ! Ne pas coller à cette évidence fera qu’une partie des touristes ira dans d’autres coins qui répondront mieux à cette évolution sociétale !
Lire ou relire l’article écrit en janvier 2013 :
JANUS dénonce la myopie de nos élus du Golfe
http://cogolinforum.free.fr/cogolin_intercommunalite_06.pdf
La vie d’une commune basée sur le seul tourisme de masse avec un pouvoir d’achat avéré s’essouffle pour ne pas dire rend l’âme. Désormais, il nous faut penser notre commune et son tourisme en « nouvel art de vivre ».
Notre ville a des atouts géographiques et climatiques remarquables pour cela. Il est dommage qu’elle n’ait pas une gouvernance qui sache les exploiter judicieusement… CQFD !
Il est venu le temps de cesser l’immobilier pour l’immobilier ! La décennie à venir doit être consacrée à la vie de la ville, à la vie dans la ville, donc au mieux vivre ensemble à Cogolin et dans le Golfe. Elle doit être focalisée sur un dynamisme économique créateur d’emplois. Ce dynamisme doit être soutenu par dezs animations ayant un impact économique certain. Lisez l’article posté en janvier 2013
25 : L'impact économique
http://cogolinforum.free.fr/cogolin_chronique_economique_25.pdf
Elle doit être réorientée vers une politique de la ville innovante, en phase avec son temps et les nouveaux enjeux du 21e siècle, au service de l’habitant et fédérant les énergies pour renforcer la cohésion sociale et territoriale !
Malheureusement, au lieu de penser ainsi leur politique, les gouvernants locaux, honte à eux, ont le nez dans le guidon de l’immobilier et du développement urbain (sans stratégie associée à l’économie). Heureusement que les grandes villes n’ont pas nos gérants de communes !!!
Il va de soi que l’amélioration des conditions de vie quotidienne doit rester un combat de tous les jours. C’est une exigence pour l’avenir des générations à venir et pour la tranquillité de nos anciens.
À ce propos, quels sont les projets innovants, perspicaces, visionnaires des prétendants au trône pour cette population des plus de soixante ans qui ne va cesser d’augmenter dans les prochaines décennies ... Silence radio… Cherchez l’erreur ! Je ne parle pas ici de la population âgée qui est dépendante, qui vit dans les maisons de retraite. Je parle de la population « intermédiaire » que je qualifierai de population « vespérale » !
Une fois encore, les élus sont myopes et ne perçoivent pas les « problèmes » que va générer l’augmentation de cette tranche d’âge de personnes plus ou moins valides comprise entre 65 et 85 ans.
Mobilité, service à la personne, compagnie, distraction, réunions festives, ateliers culturels, etc… Il faudra, une fois de plus être le « nez dedans » pour tenter de trouver des solutions à bas coût plutôt que d’anticiper et d’élaborer une stratégie sur une dizaine d’années afin de mettre en place une politique efficiente permettant à cette tranche de la population de mieux vivre ensemble et de jouer encore un rôle utile sur le plan social et économique de la ville !
Il y a encore du chemin à faire… Mais soyons optimistes… La révolution citoyenne de l’esprit politique local que lance JANUS fera peut-être mûrir quelques neurones à nos futurs premiers édiles du Golfe. Neurones perspicaces et prospectifs qui leur permettront ainsi d’avoir enfin des idées, des projets structurés et interactifs pour répondre à l’essentiel plutôt qu’au superficiel !
JANUS