SI TOUS LES GARS DU MONDE VOULAIENT SE DONNER LA MAIN…
HYMNE À LA JOIE – HYMNE EUROPÉEN
Aude à la joie appelé aussi hymne à la joie
Un poème de Friedrich von Schiller (1785).
Mis en musique dans le final du quatrième et dernier mouvement de la 9e symphonie de Ludwig Van Beethoven
L’introduction instrumentale de ce mouvement a été choisi comme hymne Européen par le conseil de l’Europe en 1972. Puis, en 1985, les chefs d’état et de gouvernement de l’union l’ont adopté comme hymne officiel.
Le poème célèbre l’idéal de la fraternité et de l’unité. Lorsqu’on voit ce qu’il se passe en Europe, on ne peut pas dire que les peuples européens connaissent les paroles de cette belle chanson… CQFD !
Voici le texte du poème devenues paroles de chanson. De belles paroles mais comme le chante Dalida : Paroles, paroles, paroles…
Joie discrète, humble et fidèle
Qui murmure dans les eaux
Dans le froissement des ailes
Et les hymnes des oiseaux.
Joie qui vibre dans les feuilles
Dans les prés et les moissons
Nos âmes blanches t’accueillent
Par de naïves chansons.
Tous les hommes de la terre
Veulent se donner la main
Vivre et s’entraider en frères
Pour un plus beau lendemain,
Plus de haine, plus de frontière,
Plus de charniers sur nos chemins
Nous voulons d’une âme fière
Nous forger un grand destin
Que les peuples se rassemblent
Dans une éternelle foi
Que les hommes se rassemblent
Dans l’égalité des droits.
Nous pourrons tous vivre ensemble
La charité nous unira
Que pas un de nous ne tremble
La fraternité viendra.
Joie immense, joie profonde,
Ombre vivante de Dieu
Abats-toi sur notre monde
Comme un aigle vient des cieux.
Enserre dans ton étreinte
La tremblante humanité
Que s’évapore la crainte
Que naisse la liberté
Joie énorme, joie terrible
Du sacrifice total
Toi qui domptes l’impossible,
Et maîtrises le fatal ;
Joie sauvage, âpre et farouche,
Cavalière de la mort,
Nous soufflons à pleine bouche
Dans l’ivoire de ton cor.
Joie qui monte et déborde,
Tu veux nos cœurs ? Les voilà.
Et nos âmes sont les cordes,
Où ton archet passera
Que ton rythme nous emporte
Aux splendeurs de l’Eternel
Comme un vol de feuilles mortes,
Que l’orage entraîne au ciel.
JANUS :
Nos ancêtres révolutionnaires auraient pu chanter ces paroles en 1789. Avez-vous constaté que déjà en 1785, ce poème contenait dans l’ordre du texte : égalité fraternité liberté !
Il est regrettable en 2014, un peu plus de deux siècles après l’écriture de ce poème, que de nombreux peuples doivent encore donner de leurs âmes pour pouvoir vivre ces paroles ! Qui a dit que l’Homme était un animal intelligent ?... Cherchez l’erreur !
HYMNE À LA JOIE – HYMNE EUROPÉEN
Aude à la joie appelé aussi hymne à la joie
Un poème de Friedrich von Schiller (1785).
Mis en musique dans le final du quatrième et dernier mouvement de la 9e symphonie de Ludwig Van Beethoven
L’introduction instrumentale de ce mouvement a été choisi comme hymne Européen par le conseil de l’Europe en 1972. Puis, en 1985, les chefs d’état et de gouvernement de l’union l’ont adopté comme hymne officiel.
Le poème célèbre l’idéal de la fraternité et de l’unité. Lorsqu’on voit ce qu’il se passe en Europe, on ne peut pas dire que les peuples européens connaissent les paroles de cette belle chanson… CQFD !
Voici le texte du poème devenues paroles de chanson. De belles paroles mais comme le chante Dalida : Paroles, paroles, paroles…
Joie discrète, humble et fidèle
Qui murmure dans les eaux
Dans le froissement des ailes
Et les hymnes des oiseaux.
Joie qui vibre dans les feuilles
Dans les prés et les moissons
Nos âmes blanches t’accueillent
Par de naïves chansons.
Tous les hommes de la terre
Veulent se donner la main
Vivre et s’entraider en frères
Pour un plus beau lendemain,
Plus de haine, plus de frontière,
Plus de charniers sur nos chemins
Nous voulons d’une âme fière
Nous forger un grand destin
Que les peuples se rassemblent
Dans une éternelle foi
Que les hommes se rassemblent
Dans l’égalité des droits.
Nous pourrons tous vivre ensemble
La charité nous unira
Que pas un de nous ne tremble
La fraternité viendra.
Joie immense, joie profonde,
Ombre vivante de Dieu
Abats-toi sur notre monde
Comme un aigle vient des cieux.
Enserre dans ton étreinte
La tremblante humanité
Que s’évapore la crainte
Que naisse la liberté
Joie énorme, joie terrible
Du sacrifice total
Toi qui domptes l’impossible,
Et maîtrises le fatal ;
Joie sauvage, âpre et farouche,
Cavalière de la mort,
Nous soufflons à pleine bouche
Dans l’ivoire de ton cor.
Joie qui monte et déborde,
Tu veux nos cœurs ? Les voilà.
Et nos âmes sont les cordes,
Où ton archet passera
Que ton rythme nous emporte
Aux splendeurs de l’Eternel
Comme un vol de feuilles mortes,
Que l’orage entraîne au ciel.
JANUS :
Nos ancêtres révolutionnaires auraient pu chanter ces paroles en 1789. Avez-vous constaté que déjà en 1785, ce poème contenait dans l’ordre du texte : égalité fraternité liberté !
Il est regrettable en 2014, un peu plus de deux siècles après l’écriture de ce poème, que de nombreux peuples doivent encore donner de leurs âmes pour pouvoir vivre ces paroles ! Qui a dit que l’Homme était un animal intelligent ?... Cherchez l’erreur !