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La démocratie a parlé en ce dimanche 06 mai 2012. Elle a choisi d’affirmer la fin d’une mandature lors de laquelle s’est produit une crise mondiale mettant à mal la société du libéralisme débridé.
Ainsi, après la passation de pouvoir à la mi-mai débutera une nouvelle mandature avec un nouveau Président de la République, avec une autre approche de l’intérêt de la population, avec une autre politique à mener pour affronter l’avenir, avec une nouvelle page sociétale mondiale qui se construit simultanément.
Les nouveaux choix, les nouvelles orientations, les nouveaux modes de fonctionnement seront-ils bons ou seront-ils mauvais ? Après cinq ans de mise à l’épreuve ou pour faire ses preuves, 2017 sera la prochaine occasion de sanctionner le nouveau président si c’est plutôt mauvais ou de le reconduire si c’est plutôt bon.
L’analyse locale et départementale voire régionale montre la vérité de la démocratie puisque nous sommes à contre-courant du choix de la majorité nationale.
JANUS interprète ces résultats généraux dans le cadre d’une vision prospective locale :
1) Fort taux de participation donc une volonté d’affirmer un besoin de changement de ce qui a été fait.
2) Quelque soit les élections présidentielles, la France bascule d’un côté ou de l’autre avec une marge étroite, prouvant que la France est 50/50. Donc, 50 qui ont envie que… et 50 qui ont envie de
3) Un bilan objectif de 2012 qui confirme le miroir aux alouettes des promesses de 2007…
4) Il est naturel de rétorquer, selon Philippe Néricault, nom de scène Destouches (1732) que « la critique est aisée et l’art est difficile ». Cependant, celui qui ne fait rien ne risque rien si ce n’est les décisions de celui qui a osé. Dans le même ordre d’idée, les génies sont des incompris parce que justement ils sont en avance sur ce que pense la « vox populi », parce qu’ils sont visionnaires. Nombreux sont ceux qui crient bravo des années plus tard aux mêmes qu’ils décriaient des années auparavant... CQFD ! Le cœur prime sur la raison. Ainsi est la nature humaine. Ne nous en formalisons pas et acceptons cette particularité. Au-delà de la gestion, la fonction d’un homme politique est d’éclairer la population sur l’avenir.
5) Un premier tour qui a révélé des désirs extrêmes à la fois opposés et proches. Ces votes ne sont pas à critiquer. Il faut en tenir compte car ils sont l’expression démocratique de problèmes réels ou en tous cas ressentis comme tels. En faire fi serait une faute politique et citoyenne.
6) Cette élection est très révélatrice de la diversité des opinions, des demandes et des propositions, de l’échiquier politique français. En effet, les grands comme les petits partis, extrême droite, droite, centre, les verts, gauche, extrême gauche, ont eu leur influence sur un résultat qui tout compte fait est 50/50 ! Il n’existe plus de grands partis, donc de grands courants portés par un idéal faisant consensus comme au XXe siècle. La vie se complexifie et transforme l’échiquier politique en une boule à multifacettes dont les reflets augmentent ou s’amenuisent au gré des vents bons ou mauvais de la vie. Alors comme a dit le marginal James Dean :
« Puisqu’on ne peut changer la direction du vent, il faut apprendre à orienter les voiles. »
7) Lisez ou relisez les programmes complets des divers concurrents (ils sont téléchargeables). Ils sont révélateurs des problématiques, des manques, des souhaits, des demandes de tout ou partie de la population. Chacun(e) adhère ou non aux propositions faites, peu importe. L’important est de comprendre que les problèmes existent et qu’il n’y a pas qu’une vérité mais des vérités. Gérer avec des œillères conduit dans le mur !
8) Se faire élir est le plus facile. Le plus difficile est de bien gouverner !
De gros bouleversements nous attendent. Qu’il soit national, européen ou mondial, le contexte va imposer des hausses fiscales.
9) Le microcosme du Golfe a un conservatisme qui lui bouche les yeux. Avoir de l’argent ou vivre avec l’argent ne signifie pas payer pour ne pas en gagner mais investir pour en produire et en redistribuer. L’austérité soulage mais elle ne guérit pas.
Relisez les deux messages de JANUS :
octobre 2010
2 : Crise, ça continue encore et encore
décembre 2010
3 : Voilà ce qui nous attend
Je vous laisse juge de la réalité de ce que dit JANUS. Toujours est-il que 2013 va voir le basculement politique de l’Allemagne. On ne parle que de la partie émergée de l’iceberg économique allemand. Le contexte social et démographique n’est pas si enthousiaste que ça. Si ce que je prédis se déroule, les deux locomotives européennes que sont l’Allemagne et la France seront au diapason. La donne européenne va changer et certainement l’approche des problèmes ainsi que les moyens d’y faire face. Que ferez-vous ? Que penserez-vous ? Allez-vous continuer à regarder dans le rétroviseur ou allez-vous enfin regarder devant ?
10) JANUS a la liberté de penser et de choisir ce qu’il pense être bon à un instant T. Or j’estime que la majorité des maires du territoire des deux cantons de Grimaud et Saint-Tropez mène un combat d’arrière garde.
Comme il est dit plus haut, le vent souffle dans une direction, qu’on le veuille ou non. Il faut apprendre à orienter les voiles pour avancer mieux et plus vite ! Ce n’est pas du tout ce qui se passe au niveau local… Cherchez l’erreur !
CONCLUSION
Le président actuel des Etats-Unis n’a jamais exercé une des plus hautes fonctions étatiques et pourtant il est à la tête d’un des plus grands pays du monde. On a critiqué le nouveau président français à ce sujet. JANUS est plus mesuré et dit donnons le temps au temps. Si je ne suis pas d’accord avec tout, il a au moins cette prise de conscience que relancer la croissance est une nécessité même s’il faut maîtriser les dépenses.
C’est cette prise de conscience de la nécessité de provoquer la croissance qui manque au niveau local ! Les clés et les idées existent. C’est la volonté et l’union qui manquent !
Les solutions n’appartiennent ni à la droite ni à la gauche. Elles appartiennent à tous et elles sont à partager pour réussir, pour gagner.
« Plutôt que d’attendre la fin de la tempête, apprenons à danser sous la pluie… »
• Faut-il attendre que les touristes viennent ou faut-il faire en sorte qu’ils aient le désir de venir ?
• Faut-il continuer à péricliter dans une économie locale atone ou initier de nouvelles branches de l’économie, innover, stimuler l’économie locale ?
• Faut-il que le client viennent acheter ou faut-il aller lui vendre ?
Si vous faites partie des actants économiques locaux, restez fidèles à COGOLINFORUM et faites connaître le site et le forum car vous vous rendrez compte par vous-mêmes qu’il y a enfin un programme de propositions qui pense que le tissu économique est la pierre angulaire du « mieux vivre ensemble à Cogolin demain ».
Si vous souhaitez vous développer, faites suivre le lien de COGOLINFORUM afin que nous soyons de plus en plus nombreux. L’union fait la force et la force fait avancer à la différence de la frilosité de l’oligarchie gouvernante actuelle… CQFD !
Cogolin est suffisamment grand. Cogolin est suffisamment rénové même si ça doit être continuer. La priorité est dorénavant « Mieux vivre ensemble à Cogolin demain ». Pour cela, il devient impérieux d’initier un développement socio-économique de Cogolin cohérent et efficace. Tout le reste en découle. Cela passe par une collaboration complice entre la gouvernance, son tissu économique et sa population ! JANUS vous l’expliquera et détaillera en temps voulu.
Merci de continuer à me lire et à devenir un(e) bon(ne) VRP de COGOLINFORUM.
JANUS
Ainsi, après la passation de pouvoir à la mi-mai débutera une nouvelle mandature avec un nouveau Président de la République, avec une autre approche de l’intérêt de la population, avec une autre politique à mener pour affronter l’avenir, avec une nouvelle page sociétale mondiale qui se construit simultanément.
Les nouveaux choix, les nouvelles orientations, les nouveaux modes de fonctionnement seront-ils bons ou seront-ils mauvais ? Après cinq ans de mise à l’épreuve ou pour faire ses preuves, 2017 sera la prochaine occasion de sanctionner le nouveau président si c’est plutôt mauvais ou de le reconduire si c’est plutôt bon.
L’analyse locale et départementale voire régionale montre la vérité de la démocratie puisque nous sommes à contre-courant du choix de la majorité nationale.
JANUS interprète ces résultats généraux dans le cadre d’une vision prospective locale :
1) Fort taux de participation donc une volonté d’affirmer un besoin de changement de ce qui a été fait.
2) Quelque soit les élections présidentielles, la France bascule d’un côté ou de l’autre avec une marge étroite, prouvant que la France est 50/50. Donc, 50 qui ont envie que… et 50 qui ont envie de
3) Un bilan objectif de 2012 qui confirme le miroir aux alouettes des promesses de 2007…
4) Il est naturel de rétorquer, selon Philippe Néricault, nom de scène Destouches (1732) que « la critique est aisée et l’art est difficile ». Cependant, celui qui ne fait rien ne risque rien si ce n’est les décisions de celui qui a osé. Dans le même ordre d’idée, les génies sont des incompris parce que justement ils sont en avance sur ce que pense la « vox populi », parce qu’ils sont visionnaires. Nombreux sont ceux qui crient bravo des années plus tard aux mêmes qu’ils décriaient des années auparavant... CQFD ! Le cœur prime sur la raison. Ainsi est la nature humaine. Ne nous en formalisons pas et acceptons cette particularité. Au-delà de la gestion, la fonction d’un homme politique est d’éclairer la population sur l’avenir.
5) Un premier tour qui a révélé des désirs extrêmes à la fois opposés et proches. Ces votes ne sont pas à critiquer. Il faut en tenir compte car ils sont l’expression démocratique de problèmes réels ou en tous cas ressentis comme tels. En faire fi serait une faute politique et citoyenne.
6) Cette élection est très révélatrice de la diversité des opinions, des demandes et des propositions, de l’échiquier politique français. En effet, les grands comme les petits partis, extrême droite, droite, centre, les verts, gauche, extrême gauche, ont eu leur influence sur un résultat qui tout compte fait est 50/50 ! Il n’existe plus de grands partis, donc de grands courants portés par un idéal faisant consensus comme au XXe siècle. La vie se complexifie et transforme l’échiquier politique en une boule à multifacettes dont les reflets augmentent ou s’amenuisent au gré des vents bons ou mauvais de la vie. Alors comme a dit le marginal James Dean :
« Puisqu’on ne peut changer la direction du vent, il faut apprendre à orienter les voiles. »
7) Lisez ou relisez les programmes complets des divers concurrents (ils sont téléchargeables). Ils sont révélateurs des problématiques, des manques, des souhaits, des demandes de tout ou partie de la population. Chacun(e) adhère ou non aux propositions faites, peu importe. L’important est de comprendre que les problèmes existent et qu’il n’y a pas qu’une vérité mais des vérités. Gérer avec des œillères conduit dans le mur !
8) Se faire élir est le plus facile. Le plus difficile est de bien gouverner !
De gros bouleversements nous attendent. Qu’il soit national, européen ou mondial, le contexte va imposer des hausses fiscales.
9) Le microcosme du Golfe a un conservatisme qui lui bouche les yeux. Avoir de l’argent ou vivre avec l’argent ne signifie pas payer pour ne pas en gagner mais investir pour en produire et en redistribuer. L’austérité soulage mais elle ne guérit pas.
Relisez les deux messages de JANUS :
octobre 2010
2 : Crise, ça continue encore et encore
décembre 2010
3 : Voilà ce qui nous attend
Je vous laisse juge de la réalité de ce que dit JANUS. Toujours est-il que 2013 va voir le basculement politique de l’Allemagne. On ne parle que de la partie émergée de l’iceberg économique allemand. Le contexte social et démographique n’est pas si enthousiaste que ça. Si ce que je prédis se déroule, les deux locomotives européennes que sont l’Allemagne et la France seront au diapason. La donne européenne va changer et certainement l’approche des problèmes ainsi que les moyens d’y faire face. Que ferez-vous ? Que penserez-vous ? Allez-vous continuer à regarder dans le rétroviseur ou allez-vous enfin regarder devant ?
10) JANUS a la liberté de penser et de choisir ce qu’il pense être bon à un instant T. Or j’estime que la majorité des maires du territoire des deux cantons de Grimaud et Saint-Tropez mène un combat d’arrière garde.
Comme il est dit plus haut, le vent souffle dans une direction, qu’on le veuille ou non. Il faut apprendre à orienter les voiles pour avancer mieux et plus vite ! Ce n’est pas du tout ce qui se passe au niveau local… Cherchez l’erreur !
CONCLUSION
Le président actuel des Etats-Unis n’a jamais exercé une des plus hautes fonctions étatiques et pourtant il est à la tête d’un des plus grands pays du monde. On a critiqué le nouveau président français à ce sujet. JANUS est plus mesuré et dit donnons le temps au temps. Si je ne suis pas d’accord avec tout, il a au moins cette prise de conscience que relancer la croissance est une nécessité même s’il faut maîtriser les dépenses.
C’est cette prise de conscience de la nécessité de provoquer la croissance qui manque au niveau local ! Les clés et les idées existent. C’est la volonté et l’union qui manquent !
Les solutions n’appartiennent ni à la droite ni à la gauche. Elles appartiennent à tous et elles sont à partager pour réussir, pour gagner.
« Plutôt que d’attendre la fin de la tempête, apprenons à danser sous la pluie… »
• Faut-il attendre que les touristes viennent ou faut-il faire en sorte qu’ils aient le désir de venir ?
• Faut-il continuer à péricliter dans une économie locale atone ou initier de nouvelles branches de l’économie, innover, stimuler l’économie locale ?
• Faut-il que le client viennent acheter ou faut-il aller lui vendre ?
Si vous faites partie des actants économiques locaux, restez fidèles à COGOLINFORUM et faites connaître le site et le forum car vous vous rendrez compte par vous-mêmes qu’il y a enfin un programme de propositions qui pense que le tissu économique est la pierre angulaire du « mieux vivre ensemble à Cogolin demain ».
Si vous souhaitez vous développer, faites suivre le lien de COGOLINFORUM afin que nous soyons de plus en plus nombreux. L’union fait la force et la force fait avancer à la différence de la frilosité de l’oligarchie gouvernante actuelle… CQFD !
Cogolin est suffisamment grand. Cogolin est suffisamment rénové même si ça doit être continuer. La priorité est dorénavant « Mieux vivre ensemble à Cogolin demain ». Pour cela, il devient impérieux d’initier un développement socio-économique de Cogolin cohérent et efficace. Tout le reste en découle. Cela passe par une collaboration complice entre la gouvernance, son tissu économique et sa population ! JANUS vous l’expliquera et détaillera en temps voulu.
Merci de continuer à me lire et à devenir un(e) bon(ne) VRP de COGOLINFORUM.
JANUS